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Aujourd'huit c'est le 1 janvier 2008. . .(bonne année. /avec des textes que j'apréssis énormément ! \ )
01/01/2008 13:20
Si vous aimer les beaux textes lisez ceux là....
La lettre. SHURIK'N
Si tu lis cette lettre, c'est que j'ai dû m'absenter, Un peu avant qu't'arrives mais j'pouvais pas rester le taxi attendait, Que faire je sais plus par où commencer, j'avais plein de choses à dire, Mais pour écrire j'suis bloqué, Mais j'vais m'lancer, tu sais la vie c'est pas toujours comme on veut, C'est souvent comme on peut, Et j'ai fait comme j'ai pu pour que ton père vive mieux, Je lui ai appris la valeur de l'argent, Parce que dans ma famille un franc, c'était un franc gagné durement, Le mien s'est tué au boulot, manque de pot je portais pas d'polo, J'étais pas en guenille non plus mais au goûter y avait pas d'pépito, Le préau était un stade de foot, un champ de shoot, Cloué sur les bancs d'la classe y avait pas foule, Fais pas comme moi, l'école ça aide des fois, Plus tard tu t'en aperçois avant de t'en mordre les doigts, Bosse et ne baisse pas les bras, Pense à celle qui va se faire tant de soucis pour toi A chaque fois que tu sortiras, Celle qui te borderas toutes les nuits, Et les jours où tu seras en colère après elle repense s'y, T'en auras jamais deux comme ça, retiens ça, Et n'écoute pas les cons qui pense qu'un homme ça ne pleure pas, crois moi, Et si j'ai pu partir un doigt levé, pied de nez à la guigne, Finalement j'ai gagné, à travers j'm'en suis tiré, Te demande pas pourquoi j'ai la réponse ici, Il fallait que parte pour que tu viennes, c'était écrit petit.
Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage, Pour éviter les crasses, semées par ton entourage, Et si un jour t'es vraiment mal barré, Y' a toujours deux personnes sur qui tu peux compter, Et ça tu l'sais.
Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage, Pour éviter les crasses semées par ton entourage, Et si un jour t'es vraiment mal barré, Y a toujours une personne à qui tu peux penser, Et ça tu l'sais.
On choisit pas ses parents, t'es pas trop mal tombé, Pense à ceux qui vivent au foyer, avant de grimacer devant ta purée, Tu subiras un peu les vannes des potes plus à la mode, Fais pas un flan à ta mère pour une paire de bottes, J'ai transmis mon art à mon fils, il te le transmettra, J'espère plus tard, comme ça, tu s'ras paré pour les bagarres au lycée, Tu va te chiffonner pour un `ta mère la pute', même si c'est pas vrai, Je sais j'l'ai, s'il fallait je recommencerais, Il t'apprendras à ne pas craindre la nuit, Il te dira que c'est pas grave si tu pisses au lit, lui l'faisait aussi, Il te dira que le sang est le même pour tous, seules les couleurs changent, On finit de la même façon, on tend la main aux anges, Il n'y a qu'une chose qu'il ne dira pas, Faudra que tu l' devines dans son regard, Entre homme on se comprend, on parle pas, Mon père n'étais pas bavard non plus, Paraît que j'ai le même caractère, C'est vrai qu'au tien j'ai rien dit de plus, Faudra que tu comprennes, que tu sois indulgent, Ne joue pas les enfants gâtés, Où le jour où pour sortir il te manquera des francs, C'est mon seul regret, j'aurais voulu être là, Te faire sauter sur mes genoux, devenir gâteux quand je te vois, Tant pis, c'était pas marqué sur mon carnet de santé, Le doc a dit que j'pouvais pas rester, alors j'ai dû m'envoler, Mais si tu t'sens trop seul, largué, Y a toujours une personne à qui tu peux penser, Et ça tu l'sais.
Et si . . . lady laistee
Et si je t'avais dit combien j't'aimais mon frère, et si on t'avait dit ne baisse pas les bras sur cette terre,
mon récit si t'as perdu un être cher, et si... tout simplement si...
Mes rêves sont hantés, par ta vision j'suis tentée, maintes et maintes fois de pleurer, d'crier à Dieu, pourquoi c'est lui qu't'as pris, prier c'est mieux que désespérer, tempérer la peine dans ma poitrine, pour toi la vie à l'horizon aucun signe du destin, t'as voulu partir, t'as pris le mauvais chemin,
le coeur sur la main, tes soss, tes assoces, pour toi ça comptait, mais pour eux, est-ce que tu comptais? Et si je t'avais dit combien j't'aimais mon frère, et si on t'avait dit ne baisse pas les bras sur cette terre, et si je t'avais dit combien j't'aimais mon frère, et si... tout simplement si...
Je sais que plus jamais j'te reverrai et c'est sûr, aussi sûr qu'on t'as mis en terre que j't'aimais mon frère, aussi sûr qu'tes photos au mur, pour moi c'est dur, c'est surmonter la mort, me dire qu't'es là pour veiller sur nous, hey ton petit frère compte sur toi, le lâche pas, et j'te vois en lui, j'ai la foi d'le voir devenir quelqu'un, il y met du sien, bien sur c'est lui qu'a le plus souffert mais dis rien, l'exemple tu lui donnais, sur toi il a pompé l'exemple du boy play, d'la sape, sur toi il a pompé fusil à pompe canon scié, est-ce que j'ai besoin de dire... c'qui s'est passé?!...
Personne, non personne pourra te remplacer, mon chagrin est tatoué dans mon coeur à jamais, j'écris avec pour encre mes larmes indélébiles, la façade baisse ses armes marque comme l'argile mon mal est inguérissable ceux qui l'ont eu savent, bravent les mois, les années depuis se lavent leurs mémoires de tous les mauvais moments, gravent dans leurs souvenirs les sourires éloignent les épaves d'une présence passée, assez ressassée, mais peuvent pas s'empêcher, d'rester blessés, là où le coeur est délaissé, mal de vivre ancré, dans les habitudes les âmes titubent vannées, vidées...
(c'est textes mon marquer quand j'étais beaucoup plus jeune,et je l'ais écoute toujours aujourd'huit . comme quoi les bons textes,comme les mélodies restes à tout jamais graver dans nos mémoires...)
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